Le Cabaret Aléatoire sera le théâtre de la finale du tremplin Scène Découverte d’Orizon Sud ce jeudi 17 avril . Rencontre avec Higher, l’un des quatre groupes finalistes.
D’où venez- vous ?
Nous venons de Brignoles, dans le Centre-var.
Combien de membres êtes-vous ?
Nous sommes huit musiciens. Trois chants, batterie, basse, guitare et deux claviers.
Quelle est la petite histoire derrière votre projet, comment tout a commencé ?
Higher, c’est une famille. Les chanteuses sont sœurs, le batteur et le chanteur sont frères, et le guitariste et le bassiste sont frères. Nous sommes des potes d’enfance, nous avons tous commencé à jouer de la musique en même temps, pour déconner. On écoutait de la musique des 70’s et du Groundation en boucle. Et puis on a commencé à s’y mettre plus sérieusement. Et nous voilà.
Comment avez-vous trouvé votre nom ?
On cherchait un nom avec un double sens, quelque chose d’assez spirituel, qui fait voyager. On a trouvé Higher, qui veut dire « plus haut » en anglais, et se prononce « ailleurs » en français. On en est assez content.
Quelles sont vos influences ?
Chaque musicien apporte ses influences, et elles sont assez changeantes. Nous sommes partit d’un reggae assez roots, au début du groupe, mélangé à des phases jazzy. Aujourd’hui, nous sommes davantage porté sur le reggae digital et le rubadub, mais sans se retreindre à ne jouer qu’un seul style de musique.
Un cliché sur les musiciens qui revient souvent à vos oreilles ?
Les clichés se forgent plutôt autour des genres musicaux. En tant que musiciens reggae, nous essayons justement d’éviter l’emploi, dans nos chansons, de ces trois mots : babylon ; ganja ; rasta.
A quoi ressemble un concert parfait selon vous ?
Quand le public est déchaîné, quand il y a une vraie énergie dans la salle, alors le concert est parfait.