Le Cabaret Aléatoire sera le théâtre de la finale du tremplin Scène Découverte d’Orizon Sud ce jeudi 17 avril . Rencontre avec Oceanic Memory, l’un des quatre groupes finalistes.
D’où venez- vous ?
Le groupe est originaire de Montpellier et de ses alentours.
Combien de membres êtes-vous ?
Nous sommes 4, Thomas (Batterie), Paul (Basse), Jérôme (Claviers/Choeurs) et Sébastien (Guitare/Chant).
Quelle est la petite histoire derrière votre projet, comment tout a commencé ?
Oceanic Memory est avant tout un groupe de pote, Thomas et Sébastien ont commencé la musique ensemble il y a sept ans dans le seul but d’avoir une activité ensemble. Depuis maintenant trois ans, les deux amis ont débuté le projet Oceanic Memory – né grâce à un très inspirant boitier de reverb nommé « picoverb ». De cette période on a gardé « Liar », premier titre du projet.
Comment avez-vous trouvé votre nom ?
Le groupe a toujours la volonté d’appuyer son identité, notamment par son nom : Oceanic Memory. C’est un nom très imagé qui illustre bien notre musique, un mouvement perpétuel, une énergie puissante mais également une grande sensibilité construite sur la sincérité de la musique et des textes. Oceanic Memory représente tout ça et a été trouvé au moment où l’on s’est demandé ce que notre musique nous évoquait; la mémoire, le souvenir, la simplicité, la complexité, la douceur et la puissance.
Quelles sont vos influences ?
Le groupe écoute énormément d’artistes divers. Bien que l’on soit issu d’une mouvance plutôt rock voir pop, chacun d’entre nous écoute ses propres sons. Paul est attiré par les musiques acoustiques, Jérôme vient du jazz, Sébastien est très sensible aux sonorités mélancoliques et Thomas a des influences hip-hop.
Un cliché sur les musiciens qui revient souvent à vos oreilles ?
On entend beaucoup de clichés sur les bassistes, comme quoi ce n’est pas un vrai instrument ou que les bassistes sont généralement noirs… Et on est plutôt d’accord avec tout ça. (rires)
A quoi ressemble un concert parfait selon vous ?
Difficile à dire, un concert n’est jamais parfait selon nous, et heureusement, car c’est aussi ça que l’on apprécie dans le live, les petites erreurs qui font tout le charme des artistes que tu es venu voir en concert.